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Kamel Ouali

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Kamel Ouali, né le 15 décembre 1971, est un chorégraphe français. Il grandit dans une famille d'origine algérienne kabyle de douze enfants et se passionne très tôt pour la danse, dont il fera son métier quelques années plus tard.

Professeur à l'Académie de danse de Paris ainsi qu'aux conservatoires de La Courneuve et de Saint-Denis, Kamel Ouali collabore régulièrement avec de nombreux artistes, pour lesquels il conçoit des clips vidéo et des prestations scéniques. Il a été inspiré par Michael Jackson. Il a été repéré en 1989 par Angela Lorente et Cédric Naïmi de Joker Promotion et obtint son premier contrat de danseur sur le titre French Kiss de Lee Lewis chez Happy Music. En 1990 il rejoint le groupe Latino Party.

Il apparaît dans le clip de la chanson Zaama Zaama du chanteur algérien de musique kabyle Takfarinas (1999). Il a depuis chorégraphié les comédies musicales Les Dix Commandements et Autant en emporte le vent et a acquis une certaine notoriété auprès des adolescents en officiant en tant que professeur de danse à la Star Academy où il participe depuis 2001.

Le 22 septembre 2005 sort sa propre comédie musicale, Le Roi Soleil, produite par Dove Attia et Albert Cohen. La même année, il a également participé à la création de Danse avec les Robots, nouvelle attraction du Futuroscope inaugurée le 5 avril 2006.

Le 21 janvier 2009, il a commencé sa quatrième comédie musicale : Cléopâtre, dont Sofia Essaïdi, issue de Star Academy 3, joue le rôle principal, et avec Christopher Stills (dans le rôle de César), Florian Etienne (Marc-Antoine), Dominique Magloire (Charmion), Medhi Kerkouche (Ptolémée) et Amélie Piovoso (Octavie).

Il a également chorégraphié le spectacle évènement Pastorale au Théâtre du Châtelet (18-24 juin 2009). Il s'agit d'un opéra en quatre actes qui mélange chanteurs lyriques et chanteurs issus des émissions Star Academy et Nouvelle Star.

S'ils bénéficient d'un certain succès public, les chorégraphies et le travail de mise-en-scène de Kamel Ouali ne font pas toujours l'unanimité. De nombreux critiques ou journalistes ont ironisé sur le « kitsch », la dimension « bling-bling » et même parfois « le mauvais goût » de ses travaux[

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