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Aya Nakamura entre au Musée Grévin
Une reine de la pop urbaine française immortalisée… en cire !

Le 13 juin 2025 restera une date mémorable pour les fans d’Aya Nakamura, mais aussi pour le Musée Grévin, qui accueille désormais la chanteuse parmi ses personnalités en cire. L’artiste franco-malienne, figure majeure de la scène musicale francophone et véritable phénomène international, rejoint ainsi les grandes légendes qui peuplent les allées du célèbre musée parisien.
Une statue à l’image d’une star libre et fière
Réalisée avec un souci du détail impressionnant, la statue d’Aya Nakamura a été dévoilée dans une robe marron à corset signée Jean-Paul Gaultier. Cette tenue, élégante et audacieuse, incarne à merveille le style affirmé et avant-gardiste de la chanteuse. Derrière cette œuvre se cachent six mois de travail minutieux de la part des artistes et artisans du musée, qui ont su capturer non seulement les traits physiques de l’artiste, mais aussi son aura.
Présente lors de l’inauguration, Aya a salué la fidélité du résultat, affirmant avec émotion : « Je n’aurais jamais pensé être inspirante en étant moi-même ».
Elle s’est également dite fière de figurer parmi les rares personnalités noires à la peau foncée représentées au Grévin, soulignant ainsi l’importance symbolique de cette reconnaissance dans un univers longtemps dominé par des représentations peu diversifiées.
Une reconnaissance à la hauteur de limpact culturel d’Aya Nakamura
Connue pour ses titres à succès comme Djadja, Copines ou Pookie, Aya Nakamura a conquis un public mondial avec son style unique mêlant afrobeat, pop urbaine et une touche inimitable de franc-parler. En 2024, sa prestation remarquée lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris avait déjà marqué les esprits.
L’entrée d’Aya au Musée Grévin, aux côtés de figures telles que Clara Luciani ou DJ Snake, s’inscrit dans une volonté de moderniser et diversifier les représentations culturelles proposées au public. Le musée semble ainsi prendre un virage important vers une meilleure représentativité des artistes contemporains.
Un symbole fort pour une nouvelle génération
Au-delà de l’hommage artistique, c’est tout un message qui se dessine : celui d’une jeunesse plurielle, fière de ses origines et de ses références, qui voit en Aya Nakamura une figure d’émancipation et d’authenticité. Elle incarne cette génération qui s’impose sans demander la permission, bousculant les normes avec talent, audace et charisme.
Son arrivée au Musée Grévin n’est pas qu’un fait médiatique. C’est un geste fort, une reconnaissance institutionnelle qui confirme que la culture évolue, que les voix autrefois marginalisées gagnent aujourd’hui leur juste place.
En rejoignant le Musée Grévin, Aya Nakamura entre un peu plus dans la légende. Et si la cire fige son image, son influence, elle, ne cesse de grandir.

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