électro
General Elektrics Parker Street
General Elektrics lance sa bombe Parker Street
Le nouvel album de General Elektriks est plus organique. « Parker Street », c’est de la réalité augmentée, la plus courte distance possible entre le live et le studio. Un travail de laboratoire encore accru (dans la lignée des productions hip hop américaines), mis cette fois-ci au service d’un disque de musiciens.
Pour la première fois, Salters ne s’est plus contenté de programmer : il a fait appel à un vrai batteur, Michael Urbano. Un vieux loup de mer de la Bay Area, aguerri au funk, au rock et à la soul depuis des lustres. RV a su capter la magie du jeu rythmique pour mieux en restituer la dynamique dans sa production, ces montées insensées, et toute la vie sur le disque. L’idée de solliciter Urbano pour ce nouvel opus lui est venue après une première collaboration improvisée en 2010, pour les besoins de la BO de la série Les Beaux Mecs (sur France 2), signée par RV. Un projet s’intégrant dans l’Elektriks Collection, une série discographique gérée par Salters, et présentant les projets satellites autour de General Elektriks : Le MC Pigeon John, Antonionian (batteur en live de General Elektriks), ou Honeycut, trio de soul garage auquel participe aussi notre musicien passionné.
Par un ironique concours de circonstance, Michael Urbano est aussi le proprio de la maison familiale de RV Salters sur « Parker Street« , où le nouveau disque a été enregistré. L’expression « Fait à la maison » prend donc ici un sens profond. Après la ville de Good City For Dreamers, zoom encore plus serré : voici la rue de Parker Street. Une plongée au plus près de l’âme musicale d’Hervé, mêlant production hip hop, gimmicks funk, mélodies pop et même quelques inédites incartades 80’s du meilleur effet (Holding Down the Fort). Une virée dans la discothèque en désordre de Salters, où Curtis Mayfield et Thelonious Monk trônent amoureusement sur les Zombies, les Beatles, et la Motown.
« Parker Street » alterne rayons soniques qui surexposent le négatif (The Spark) et atmosphères plutôt sombres (I’m Ready, Hardship Is Over). Plus léger, le premier extrait, Summer is Here est un condensé explosif de bonheur simple et de pop 60’s ensoleillée, où comme tout au long du disque, Salters s’affirme vocalement avec un chant soul souple et désormais totalement décomplexé. Aujourd’hui à l’aise dans sa rue, il ose y exposer sa poésie personnelle et intime, qui parle d’amour et de mort, de famille et de copains.
« Parker Street » est donc un album photos d’une époque, orchestré par la musique de la vie de Salters, un disque fort et immanquable !






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