Scène française
Indochine Black City Parade
Indochine sort son nouvel album Black City Parade
 
																								
												
												
											Quatre ans après la sortie de son dernier album, « La République des Meteors », Indochine est de retour avec un album flamboyant baptisé « Black City Parade ».
Après la sortie du dvd « Putain de Stade » en 2011, une série de 5 concerts surprises dans des peties salles dans le cadre du Meteor Club Tour, une Victoire de la Musique d’honneur, et après quelques mois de pauses, de voyages, de remises en questions et de débats, Nicola et Oli décident d’ouvrir les premières sessions d’écritures de ce qui va être le futur nouvel album d’indochine. Certainement l’un des meilleurs album du groupe.
Pour la première fois tous les morceaux seront joués et enregistrés en live à Bruxelles et chanté au gré des villes et des studios. Pour la première fois le groupe se laisse filmer pendant les 14 mois de création de ce nouvel album, des premières notes au mixage final. Tous les textes sont écrits par Nicola Sirkis avec une participation de Mathieu ( Lescop ) sur Trafic Girl, lui qui avait déjà co-écrit Les Portes du Soir en 2006 sur l’album « A&J ». Puis Tom Smith du groupe The Editors offre un bonus à cet album avec une chanson magnifique, The Lover.
Dans ce nouvel album y a les bons et les méchants, les riches et les pauvres, des gens heureux ou tristes, des naissances et des enterrements, des souffrances et de l’amour, de l’homophobie et du racisme.
« Black City Parade » se construira, s’écrira entre des moments et des instants agités, au loin, à Tokyo, et puis plus calme vers Bordeaux et puis de nouveau à Berlin. Cet album, c’est 14 mois d’étapes, de villes inspirantes comme Paris, Bruxelles, Berlin, Tokyo, New York et d’autres. Et puis se rajouterons des villes comme Belfast pour décrire l’infidélité que découvre Sylvia Plath dans Wuppertal, directement inspiré du film « Les Rêves Dansants », alors que College boy traite de l’homophobie dans les pensions ou les écoles, tandis que Trafic Girl parle des filles en uniformes bleue à Pyongyang, en Corée du nord, qui règle une circulation qui n’existe pas.
Il se dégage de Memoria, comme pour l’ensemble de « Black City Parade », une émotion brute et incroyable, où Nicola Sirkis ne raconte pas d’histoires, mais parle juste de ses états … d’âmes. Les albums d’Indochine sont disponibles sur iTunes et Amazon !
 
																	
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