électro
Jean-Michel Jarre Electronica
Jean-Michel Jarre s'entoure de la crème de l'électro
Dire que Jean-Michel Jarre est une figure incontournable de la musique électronique apparaît aujourd’hui comme une évidence tant l’influence de l’auteur de « Oxygène», « Equinoxe » ou de « Zoolook » est cruciale. Il revient au premier plan avec « Electronica » (Vol 1 & Vol 2), sans doute son projet le plus ambitieux à ce jour, à découvrir sur iTunes !
C’est sous le nom de code de E-Project que Jean-Michel Jarre a composé son nouvel album « Electronica 1 : The Time Machine », avec la complicité de 15 collaborateurs qui révèlent l’étendue de son spectre musical et de son ascendance sur la scène électronique. Des jeunes talents Gesaffelstein et Little Boots, aux pionniers Tangerine Dream et John Carpenter en passant par les confirmés Massive Attack, Air, Moby… Jean-Michel Jarre nous dévoile ici sa propre vision des diverses facettes de la musique électronique.
« Mon nouvel album Electronica est un projet fondé sur l’idée de réunir autour de moi des artistes, des musiciens liés directement ou indirectement à la scène électronique, recouvrant quatre décennies, au fond depuis que j’ai commencé à faire de la musique électronique moi-même. Aujourd’hui la musique électronique est partout, il n’y a plus de barrière entre les genres. »
« Electronica est né d’une envie que j’avais de collaborer avec certains artistes. J’ai eu la surprise de voir que tout le monde accepte mon invitation. J’ai donc composé en fonction de l’univers de chaque artiste tout en laissant suffisamment d’espace pour qu’ils puissent s’exprimer à leur tour. Je souhaitais en effet marier nos ADN de la manière la plus équilibrée possible. Il ne s’agit pas de simples « featurings », derrière chaque collaboration il y a une raison en terme de musique, de son et en terme d’inspiration, c’est ce qui fait l’essence même d’ Electronica. »
Jean-Michel Jarre explore l’horizon des territoires sonores avec Boys Noize, M83, Air, Vince Clarke, Little Boots, Fuck Buttons, Moby, Gesaffelstein, Pete Townshend des Who, Tangerine Dream (ultime enregistrement du regretté Edgar Froese), Laurie Anderson, Armin van Buuren, 3D / Massive Attack, John Carpenter et Lang Lang. Chacune de ces collaborations témoigne de l’éclectisme de « Electronica Part 1 : The Time Machine », une œuvre portée par ces obsédés du son dans la création comme en témoigne Vince Clarke, fondateur de Depeche Mode et Erasure, « je partage avec Jean-Michel cette même quête de la beauté et de la pureté du son de nos machines. »
Au lieu de faire de la musique à distance, Jean-Michel Jarre a voulu que « Electronica » soit un album de partage. Pendant plus de trois ans, il est parti à la rencontre de ses collaborateurs pour travailler directement en leur compagnie, entre Paris, Londres, Berlin, New-York, Los Angeles… Cette démarche était la condition de la cohésion de cet album qui apparaît dès lors comme une somme d’expériences et de face-à-face. C’est ainsi que Jean-Michel Jarre a réussi à donner corps à sa vision.
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